Ma
chère Karine
Vous
n’aimez les poèmes pour vous
Je
n’en ai guère surtout partout
Qui
ne puissent inspirer dégoût
La
pensée inéfable ressort dessous
Les
entrailles de cet hôpital sans sous
Je
suis terrorisé d’ennui. Je suis fou.
Je
vous aime. Un point c’est tout.
Quand
le temps aura passé, je vous
En
prie, délivrez moi de tout courroux
Car
plénitude en votre présence
Vous
demeurez l’or de nos carences;
Vous
refusez l’indifférence;
Votre
magique sens, ce que je pense
Springfield Hospital, 12h le 5 mai 2018
Karine,
ma bien-aimée
Splendide,
sérieuse et intelligente
Je suis un
admirateur. Séducteur
De plans
toujours vains en attente
Il y a
beaucoup d’heur en hauteur
Le coeur
suspendu. Mont stoïque,
L’ornement
pharaonique,
L’inclusion
d’une mosaïque:
Une vénération
d’amie bien-aimée
Balham 21h18 le 5 Juin 2018
Chère
Karine
Tu
es une amie si divine
Qui
très vite sait et parfois
Devine
quelle est bonne voie,
Aurifère
comme à la mine !
Légère
dans ce bleu pastel
Tu
es la plus belle.
Travailleuse,
intelligente, gentille
Pour
moi tu es merveilleuse, Scintille
Ton
aura. Que ton avenir brille.
Je
t’aime un peu, beaucoup :
Je
veux le crier ici et partout.
Il
m’arrive encore de finir
Tes
phrases ; ce n’est que plaisir.
Notre
amitié forte comme un menhir
Tu
es docte, humble. Un élixir.
Wandworth Common 12h30 le
5 août 2018
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