Un amour qui se perd [London 15 Sept 2014]
Cet amour, ce tableau, cette quête d’art
Tout fane, all to paint, ce renard ment
Ce qui ne lui saurait porter bonne chance
Romance démodée éprouve là nos vies
Très vite sans un regard d’un œil hagard
Ecume les jours de son sain gouvernement
La passion aveugle de justes balances
Que sert cette union au profil infini.
Surprises esthétiques [London 16 Sept 2014]
Mensonges infinis de la beauté volée
Qui hantent nos chemins bouleversés jadis
Comme cette bougie qui distille un baiser
Pour toujours souhaité auprès de notre mie
Ondées, vraies opalines, chantons ta
séduction
Aucune vérité ne peut faire briser
Les ruisseaux de bonheur comme vile
abduction
Imploration proférée : pour
l’éternité.
Habitudes sans espoir [London 16 Sept 2014]
Coutumes pitoyables, ridicules habits
Rendent mesquineries l’us là inédit
Courtes entreprises mènent à l’envi
De changer les donnes de langoureuses vies
Ennui omniprésent ravive les rancœurs
De fols espoirs broyés par l’existence
De desseins sans dessin. Au revoir cher
doux bonheur !
Images d’antan restent pénitence.
Conflits incontrôlés [London 17 Sept 2014]
Discipline honnie qui répand nos troubles,
Pensées inutiles qui sont vite bannies,
Transformations ratées qui vous offrent
roubles
Importés de conflits. Au revoir
vivendi ;
Maudite Histoire. Aucune idée vainc
Les espoirs là déchus. Générations voilées,
Perdons les repères qu’aucun fin malin
Saura sauvegarder sans un coup d’épée.
Virages insensés vers de nouveaux projets
Délivrent du délire et des mensonges lus.
Ô modus vivendi dis-moi ce qui nous met
Dans de tels édredons à jamais méconnus.
Puissantes auditions auprès de mécènes
Désarmés, abusés, révoltés, iniques,
Qui rechignent à voir leur grande aubaine
De
choisir le calme si diplomatique.
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